HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 823

Chapitre 823

A ces mots, les deux autres femmes se sont précipitées ensemble sur Lorraine. Les trois lui ont donnédes coups de poing et de pied. Elles l‘ont frappée si fort que Lorraine a poussé des cris lamentables. Eneffet, les trois femmes étaient envoyées par édmond pour lui faire la le?on. Elles devaient faire croireLorraine qu‘elle était en difficulté. Donc, après sa sortie de la prison, elle n‘aurait pas le courage dechercher querelle à Clément.

En ce moment, à force de coups, Lorraine a roulé sur le sol. Elle a crié douloureusement pour demandermerci.

Les autres prisonnières étaient en train de courir. Mais les cris de Lorraine les ont figées. Elles les ontregardées avec étonnement. Malgré sa bataille avec Lorraine, Josette était beaucoup moins agressiveque ces trois femmes. Elles ont failli à tuer Lorraine.

Il était évident qu‘elles n‘étaient pas des gens ordinaires. – Oh, ma pauvre ! a dit Josette, un malheurn‘arrive jamais seul... J‘éprouve même de la compassion pour elle. Cependant, Mme Xavier s‘est réjouiedu malheur de Lorraine. Elle a dit en riant: – Génial. Bottez son cul! Allez, cassez sa gueule ! Vivian aégalement applaudi chaleureusement. Elle a dit dans un sourire :

– Allez! Frappez–la au visage ! Cassez la figure ! A ce moment–là, la balafrée pensait que Lorraine en atiré une le?on. Elle a dit : – Assez. Relachez Lorraine. Si nous la tuons maintenant, sur qui pourrons–nous nous défouler dans les 20 années à venir ? Jusqu‘à ce temps–là, les deux femmes se sontarrêtées. Rouée de coups et couverte de bleus, Lorraine n‘a cessé de crier lamentablement. Elle sesentait qu‘elle était à bout de souffle. La balafrée s‘est dirigée vers Lorraine. Elle a dit avec froideur :

– Ce n‘est qu’un début. Tu dois payer le prix de ton vol. Je vais te torturer. Effrayée par ses paroles,Lorraine a poussé des cris. Elle ne pensait pas que la carte noire de Clément pouvait lui infliger une tellenovelbin

douleur.

Depuis son vol de la carte, Lorraine n‘a re?u que des coups. Elle avait faim et froid. Après la douchefroide, elle était obligée de coucher dans les toilettes... C‘était complètement une tragédie. Ayant vu leslarmes de Lorraine, la balafrée lui a donné directement un coup de pied. Puis, elle a dit d‘un ton froid : –Arrête. Sinon, je vais casser ta gueule ! Lorraine a immédiatement arrêté de pleurer. Elle n‘a pas oséprononcer un seul mot. Ses deux incisives et sa molaire ont été cassées. Si le reste de ses dents estcassé, comment pourrait–elle encore vivre ? Satisfaite de son silence, la balafrée a dit en ricanant : –Bon, hors d‘ici ! Lorraine était soulagée. Même si elle ne pouvait plus se lever, elle s‘est efforcée deramper au loin pour s‘éloigner de ces trois femmes. Après avoir donné à Lorraine des coups, les troisfemmes se sont tournées. Mais à cet instant, deux gardiennes ont apparu. Elles ont demandé à Josettede ramener Lorraine dans la cellule. Bien que Josette déteste Lorraine, elle a éprouvé de la pitié entémoignant sa misère. Donc, elle l‘a conduite à la cellule. Derrière elles, les autres prisonnières avaientdes pensées différentes.