HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 822
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Chapitre 822

Chapitre 822

Quand tout le monde a vu que la femme au visage balafré était si cruelle, tout le monde a eu trop peur, àl‘exception de Mme Xavier qui était très heureuse, car pour elle, tant qu‘elle voyait Lorraine se fairetabasser, elle en était très ravie. Vivian a également senti que c‘était vraiment un apaisement de sacolère. Voyant que ce gifle donnée par la femme au visage balafré à Lorraine était plus douloureuse queles nombreux coups cumulés que Lorraine avait re?us : cette gifle l‘a directement fait écrouler au le sol.Cette femme au visage balafré avait donc une force hors du commun.

Lorraine était morte de peur!

Recevoir des coups n‘était pas un gros problème pour elle, car elle a été beaucoup battue les deux joursprécédents et elle s‘y était donc habituée depuis longtemps. Mais son problème était qu‘elle ne savaitpas pourquoi cette femme au visage balafré l‘avait giflée. « Se pourrait–il qu‘elle soit membre du Gangtransnational de fraude, est–elle venue se venger de moi ? » pensait–elle.

Juste au moment où Lorraine était terrifiée, Josette a dit à la femme au visage balafré :

– Madame, nous ne connaissons pas cette femme, si tu veux la frapper, tu peux la frapper à ta guise, tupeux même la battre à mort si ?a te chante, mais nous devons encore courir, nous le permets–tu ?

La femme au visage balafré a reniflé froidement et a dit :

– Tous ce qui n‘ont rien à voir avec cette affaire, dépêchez-vous de dégager d‘ici. Sinon, vous aurez àfaire à moi !

Josette a rapidement fait un signe de la main et a crié : – Tout le monde, venez courir avec moi, 121,121! Ces 21 codétenues l‘ont suivie à la hate en courant et en criant le numéro 121. Seules les troisfemmes et Lorraine sont restées sur place. Cette dernière était si effrayée qu‘elle s‘est écriée : –Madame, où vous ai–je provoquée ? Dites–moi au moins ... La femme au visage balafré a donné unnovelbin

coup de pied au ventre de Lorraine, le coup pied était tellement douloureux que Lorraine a roulé sur lesol en se couvrant le visage avec ses mains.

Puis, la femme au visage balafré a sorti une carte bancaire noire de sa poche et a demandé :

–Lorraine, lève les yeux, reconnais–tu toujours cette carte ? Dès que Lorraine a levé les yeux, elle a ététrès choquée. Cette carte était si spéciale, comment ne pouvait–elle pas la reconna?tre, c‘étaitexactement la même carte qu‘elle avait volée de la poche de Clément.

« Ces trois femmes font–elles vraiment partie du Gang transnational de fraudeurs ?!»

« Ce matin, la policière ne m‘a–t–elle pas dit qu‘aucun indice n‘avait été trouvé sur ce Gang ? Commentse fait–il donc que trois membres de ce Gang sont–elles maintenant emprisonnées ? » « Ces troisfemmes connaissent donc mon identité, elles sont probablement venues pour se venger de moi, c‘estpeut-être moi qui est responsable sans le vouloir de leur emprisonnement ! »

« Le cas échéant, les carottes sont vraiment cuites pour moi, ne pourraient–elles pas me tuer sur uncoup de colère ? » « Je vais bient?t être libérée, ne serait–il pas donc dommage que je me fasse tuer ence moment–là ? »

Alors, elle a dit avec de la morve au nez et des larmes aux yeux :

– Je ne reconnais vraiment pas cette carte bancaire. Vous êtes–vous trompées de personne ?

– Quoi, nous nous sommes trompées de personne ? Salope, tu te moques de nous ou quoi ?

La femme au visage balafré a attrapé les cheveux de Lorraine et l‘a giflée au visage en disant :

– Sais–tu pourquoi nous sommes emprisonnées tous les trois ? C‘est parce que tu as mis la police à nostrousses et tu nous as ainsi fait arrêter, nous risquons tous les trois d’être condamnées à la réclusion àperpétuité, tout est de ta faute ! Lorraine a crié en pleurant:

– Je suis désolée, je suis vraiment désolée, en fait, je suis aussi une victime, et je ne savais pas qu‘il yavait tant de choses derrière cette carte ... La femme au visage balafré l‘a regardée et a crié avec colèreaux deux à c?té d‘elle : – Battez–la, battez–la jusqu‘à ce qu’elle soit à moitié morte ! De toute fa?on ellesera aussi emprisonnée ici plus d‘une dizaine d‘années, nous la battrons donc tous les jours deux foispour notre vengeance, et nous n‘arrêterons pas tant qu‘elle ne sera pas

morte !

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