HOMME INACCESSIBLE

Chapter 3409

Chapitre 3409

Clément a jeté un regard froid sur Dumont, le faisant trembler de tout son corps.

A l’origine. Dumont avait partagé ces détails pour souligner que les affaires de sa famille étaientindépendantes de la famille Huet, et qu’elle n’avait pas besoin de ressources ou d’assistance de leurpart. Par conséquent, il estimait qu’il n’était pas

nécessaire de rendre compte des activités de sa famille tous les trois mois au Pays C.

Cependant, la demande inattendue de Clément de rester dans le Pays C pour l’aider a complètementpris Dumont au dépourvu. Regrettant ses paroles instantanément, il avait presque envie de se giflerplusieurs fois.

Rapidement, il a adopté une expression de regret et a dit:

M Clement S’il vous plait, ne prenez pas ce que je viens de dire au sérieux, car c’était simplement desvantardises…. Clément a calmement demandénovelbin

Oh? Vraiment ?

Dumont a vigoureusement hoché de la tête en signe d’approbation.

A ce moment–là, un homme d’age moyen à c?té de lui, visiblement nerveux, a pris la parole:

– Clément. Je suis le père de Dumont, Béliveau Votre père et moi sommes cousins. Mon fils a toujourscette habitude de se vanter, un véritable bavard qui parle sans réfléchir. Je lui ai répété maintes fois dene pas se vanter ainsi, mais il ne m’écoute tout simplement pas

Il a esquissé rapidement un sourire et a ajouté

Maintenant que vous êtes le chef de la famille Huet, vous n’avez pas à vous préoccuper de ce genrede vantardises insignifiantes…

Clément a légèrement approuvé de la tête en disant

Oh Donc tout cela n’est que des vantardises?

Béliveau, furieux, a giflé Dumont sur la tête en criant:

Espèce d’ordure, présente tes excuses au chef de famille!

Après la gifle, Dumont n’a montré aucune trace de ressentiment. Au contraire, il a exprimé avecanxiété et inquiétude

M Clément, j’ai eu tort. Je n’aurais pas du me vanter devant vous… S’il vous plait, pardonnez–moi….

Clément a agité négligemment la main et a dit

Oh, les jeunes sont toujours arrogants. Qui n’aime pas se vanter quand on est jeune ? Cette petiteaffaire, je ne la prendrai certainement pas à c?ur.

Dumont a poussé un soupir de soulagement et a rapidement remercié

Merci, M. Clément, pour votre générosité ! Merci beaucoup !

Clément a approuvé d’un signe de tête, puis a regardé Béliveau en demandant:

– J’ai une question à poser.

Béliveau a dit humblement :

– M. Clément, n’hésitez pas à la poser. Ne soyez pas tellement poli. Comment pouvons–nous méritervos paroles comme ?a. Clément a souri et a dit :

Alors, je veux savoir si ce que Dumont a dit tout à l’heure est vrai ou faux ? A–t–il inventécomplètement des événements qui ne se sont jamais déroulés, ou a–t–il déformé des faits réels qui nele concernaient pas du tout?

Béliveau, soudainement hésitant, a bafouille:

Eh bien… Ce n’est pas comme s’ils ne s’étaient jamais produits….

Devant cette réponse vague, Clément est allé droit au but:

– Tout ce que je veux savoir, c’est si, il y a cinq ans, quelqu’un a effectivement décidé de déplacervotre entreprise de l’Asie en Roumanie.

Béliveau a hoché précipitamment la tête :

–

– Oui, oui !

Il était conscient que la vérité ne pouvait être dissimulée. Dès que Clément mènerait son enquête, ildécouvrirait le parcours de développement de toutes les industries de leur famille. Il n’y avait aucunmoyen de le cacher.

ce stade Clement a posé une nouvelle question:

Alors je veux savoir, si ce n’était pas Dumont qui a pris cette décision il y a cinq ans, alors qui était–ce?

Beliveau, encore plus nerveux, a bafouillé de nouveau:

Cest Cest

Clément a froncé les sourcils et a demandé froidement

– C’est qui ? Est–ce si difficile de prononcer le nom d’une personne?

Beliveau, percevant le mécontentement de Clément, a admis rapidement avec un air courageux :

– C’est moi. C’est moi. C’est moi qui ai pris cette décision….

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