HOMME INACCESSIBLE

Chapter 468
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Chapitre 468

A ce moment-là s’est entendue une voix de l’extérieur : i – Notre professeur est là. Allez, il faut deuxjeunes hommes pour lui donner un coup de main. Leur attention bien détournée, Kyan a enfin pousséun soupir de soulagement avant de s’adresser à Clément: – Vas-y, s’il te plait. Ce dernier a hoché latête. Bertrand a dit également à Hubert: – Toi vas-y aussi. Nous deux sommes vieillards, jamais plusforts que vous les jeunes. – Ouais, a répondu Hubert et a suivi Clement.

Pendant la descente, Hubert a pris un air arrogant et ne voulait même pas prendre la peine deregarder Clément. Celui-ci l’ignorait également. Après tout, sa vie et son Entreprise scientifique ettechnique de la Cité J ne duraient plus cette journée. Il restait encore un seul coup au bon moment.

Clément attendait un bon moment pour que son humeur atteigne le sommet avant de tomber dans lesmisères. Là-bas dans le fauteuil roulant s’asseyait un vieux gentleman de plus de 80 ans, les cheveuxgrisonnants, qui a levé la téte pour regarder le vieux batiment devant lui. A ses c?tés se tenait unhomme d’age m?r qui saluait Clément et Hubert en souriant :

– Bonjour, je vous remercie beaucoup de venir nous aider. Mon père est trop age pour monter l’escalierhein. On doit vraiment équiper le batiment d’enseignement avec un ascenseur. Après la retraite, monpere a envie de rentrer depuis longtemps. Veuillez prendre soin de lui s’il vous plait novelbin

Le professeur a éclaté de rire : – Ne me sous-estime pas. Je vais bien, et c’est pourquoi je rentre icicette fois. Son fils a hoché la tête : – Tu t’es consacré à l’enseignement, et tu n’es toujours pas fatiguéd’y rester 1 – Oh, c’est ma carrière de toute la vie et je m’appartiens ici. L’homme plus jeune a souri: –Bien, bien, fais ce que tu veux, d’accord ? Tes élèves t’attendent dans la salle de classe Le discours abeaucoup impressionné Clément. Il a été touché de son attitude envers l’enseignement. Le métier pourl’enseignant, c’était presque sa foi.

Hubert au contraire, a montré un mépris. Mais il n’a dit rien d’autre que – On y va alors, tout le mondenous attend là-haut. Puis, il a jeté un coup d’oeil à Clément pour lui ordonner : – Hey, venez m’aider !

– Pas besoin, je vais le faire tout seul, de peur que vous, tout maladroit, fassiez tomber ce vieuxmonsieur, a dit Clement. – Ah bon ? Ne plaisante pas ! a dit Hubert avec incrédulité. Clement s’estdirigé derrière le fauteuil roulant, a tendu les mains pour le tenir byec le vieillard, et a monte l’escalieravec équilibre.

11 n’était jamais banal de sa nature. Après avoir fait les pilules de renouveau il y a quelques jours, il enavait pris et avait subi une grande croissance. Maintenant il était capable de supporter les poidsbeaucoup plus lourds qu’un fauteuil roulant avec une personne.

A cette scène, Hubert a été surpris. Mais il a été plus heureux de ne pas devoir subir ce genre detraces. Donc, il les a suivis en souriant :

-Hélas, tu es el fort ! Tu peux méme faire les travaux manuels sur le chantier i Moi, j’ai un ami qui estresponsable d’un projet, pourrais-je te presenter à y travailler ?

Clement a souri en demandant ; – Tu veux dont y aller ? – Je veux dire toi!

– Ah, il semble que tu aimes bien ce travail Alors tu vas travailler gur le chantier dans les vingt annéesfutures, qu’en penses-toi ?

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