HOMME INACCESSIBLE

Chapter 413

Chapitre 413

Tristan et son fils Albert étaient affalés sur le sol et pleuraient amèrement. Même jusqu’à ce moment-là,ils ne voulaient toujours pas accepter le supplice d’être envoyés à la Montagne Blanc pour le reste deleur vie.

Voyant qu’ils étaient toujours là, Clément a dit légèrement :

– Bien que ce ne soit que l’automne, il fait déjà très froid à la Montagne Blanc. Si vous ne préparez pasdes vêtements lourds pour l’hiver, vous allez mourir de froid et avoir des engelures là-bas, et ce seraentièrement de votre faute.

Lorsque le père et le fils ont entendu cela, ils ont immédiatement réalisé que s’ils restaient plantés là-basà pleurnicher, a l’arrivée des hommes de Clovis, ils devraient vraiment aller à la Montagne Blanc lesmains vides.

Alors ils se sont regardés mutuellement, puis ils se sont levés désespérément, et ils sont allés dans leurschambres respectives emballer leurs affaires en pleurant.

à ce moment, ils s’étaient déjà résignés à leur sort,car la force montrée par Clément avait largementdépassé leur portée.

Plusieurs grandes familles de la Cité J vouaient un grand respect à Clément, et s’ils ne partaient pas, ilsrisquaient vraiment de mourir à la Cité J! novelbin

Le reste de la famille Poulin évit ait Albert et Tristan. Nonobstant le fait que ce dernier était en mauvaisesanté et avait des difficultés à se déplacer, aucun des autres membres de la famille Poulin na levé lepetit doigt pour l’aider. Après tout, personne ne voulait offenser Claude, le nouveau chef de la famillePoulin, encore moins Clément qui était pleins d’artifices.

Lorsque Tristan et son fils faisaient leurs valises, Clovis est venu personnellement accompagné parquelques de ses hommes.

Cette fois, Clovis avait amené 6 de ses hommes avec lui, avec trois Land Cruisers très performants, etils étaient prêts à conduire jusqu’au nord de la Montagne Blanc.

La montagne était à plus de 2 000 kilomètres de route, il leur faillait au moins deux jours de route pour yarriver. Clovis avaient amené six de ses plus forts hommes avec lui, avec eux six, Albert et son pèren’avaient aucune chance de s’échapper. M?me, Clément estimait que méme s’ils avaient l’occasion des’échapper, ils noseraient pas, car une fois qu’ils s’échappaient leurs tétes seraient mise à prise et ilsseraient poursuivis par des chasseurs de prime, donc c’était mieux pour eux de rester dans la MontagneBlanc pour récolter du ginseng

Une demi-heure plus tard, Albert et Tristan après avoir fini de faire leurs valises, sont venusdésespérément dans le hall avec leurs valises. Voyant cela, Clément a dit : -Ceux qui doivent vousemmener à la montagne sont arrivés, dép?chez-vous de monter dans la voiture et partez maintenantAlbert et Tristan ne pouvaient que hocher la tête d’un air maussade, puis ils ont été emmenés par leshommes de Clovis.

En quittant la maison, ils n’arrêtaient pas de regarder en arrière, mais peu importe leur degré deréticence à aller à la montagne, en ce moment-là, ils n’avaient plus le choix.

Tristan était plein de regrets en ce moment-là :

Si je l’avais su plus t?t, j’allais laisser le poste de PDG à Claude après qu’il a résolu le problème auquelfaisait face l’entreprise comme on le lui avait promis.

En effet, s’il avait fait cela, Claude n’allait certainement pas l’envoyer à la Montagne Blanc ce jour-là. Parconséquent, il était le seul et unique responsable de tout ce qui lui arrivait

Claude regardait Tristan et Albert monter dans la voiture, et les trois véhicules ont quitté la maisonfamiliale des Poulins et se sont directement mis en route pour la Montagne Blanc, qui était à plus de 2000 kilomètres

Immédiatement après, il s’est mis devant Clément, sans dire un mot, il s’est immédiatement agenouillésur ses genoux et s’est prosterne trois fois, puis a levé la téte et a dit :

– Maitre Clément, merci beaucoup de m’avoir aidé à réaliser mon plus grand réve. A partir demaintenant, ma vie t’appartient ainsi que le Groupe Poulin, je ferai tout ce que tu me demanderas defaire.

Clément a souri légèrement et a dit :

-Claude, tu es intégre et tu es aussi un fils dévoué. Ce quite manque, ce sont des opportunités. Jet’apprécie, donc je suis prêt à t’aider à réussir, mais tu dois te rappeler que tu ne dois jamais lecomporter comme le faisaient ton père et ton frère Si j’apprends à l’avenir que tu te comportes commeeux, alors je te tuerai de mes propres mains, compris ?

Claude s’est prosterne, ne s’est pas levé pendant un long moment et a dit à haute voix :

– J’ai compris, si je me comporte de la même fa?on que celle de mon père et mon frère à l’avenir, alorsje trahirais ta confiance, et je mériterais la mort

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