HOMME INACCESSIBLE

Chapter 3756
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Chapter 3756

Chapitre 3756

Clément, satisfait de voir Bernard se conformer en payant, lui a dit :

– M. Bernard, cette affaire est réglée pour le moment, mais notre patron a une autre requête.

Bernard a réagi promptement:

– Dites-moi…

Clément a parlé avec décontraction:

– Le ticket que je t’ai montré tout à l’heure doit rester absolument confidentiel, personne ne doit être aucourant.

Bernard a répondu sans hésitation :

– Ne vous inquiétez pas, je ne le divulguerai à personne.

Clément a esquissé un léger sourire et a poursuivi :

– Parfait. Au fait, il y a autre chose où nous aurions besoin de ton assistance.

Bernard a rapidement demandé:

– Dites-moi comment je peux vous aider !

Clément a dit nonchalamment:

+10 Bonus >

– Notre patron n’apprécie pas vraiment ta boutique à la Cité J. Il souhaite que tu la fermes rapidement.Aucun employé ne doit rester, tous doivent être licenciés. Pour les ventes liées, aucun paiement nedoit être effectué.

Bernard détestait déjà cette boutique, donc il a accepté sans hésiter et a affirmé:

– Ne vous inquiétez pas, je fermerai la boutique aujourd’hui même et je licencierai tous les employés.

Clément a approuvé d’un signe de tête, a esquissé un sourire et a dit :

– Parfait. Dans ce cas, garde ces antiquités rares, nous prenons congé.

En pronon?ant ces mots, Clément a fourré les trois objets dans les bras de Bernard, puis a fait signe àFlorentin de partir ensemble de la suite présidentielle.

Dès qu’ils ont quitté la chambre, Florentin a repris son souffle et a commenté:

-Ma?tre Clément… Vous êtes vraiment sans pitié… Ces choses sans valeur, je nose même pas lesproposer à 20 000 euros dans la Rue d’Antiquité, et vous les avez vendus à 200 millions… Celareprésente un bénéfice des dizaines de millions de fois supérieur…

Clément a ri et a dit :novelbin

– Florentin, tu as bien agi aujourd’hui. Ne t’inquiète pas, je ne te traiterai pas injustement. édmond teremettra 200 000 euros en espèces.

En entendant cela, Florentin a rapidement secoué la tête et a dit ;

– Ma?tre Clément, ce n’est pas ce que je veux dire… Peu importe combien d’argent vous gagnez, c’estvotre talent, je ne suis pas du tout jaloux…

Clément a répondu :

– C’est simplement un petit geste de ma part. Après tout, je ne peux pas te faire travailler gratuitement.

Florentin a rapidement refusé:

– C’est facile pour moi. En plus, le prix d’achat de ces quelques objets est très bas. Je suis venu vousdonner un coup de main, comment pourrais-je accepter votre argent ?

Clément a esquissé un léger sourire et a dit :

– Si je veux te donner, tu peux prendre, pas besoin d’être si poli avec moi.

Florentin a spontanément répondu :

– Si vous voulez vraiment me donner, je vous demande de faire un don avec cet argent.

Clément a regardé Florentin avec admiration et a dit en souriant:

– Florentin, réfléchis bien. Ce n’est pas vingt euros, c’est 200 000 euros.

Florentin a affirmé avec assurance:

– Oui, Ma?tre Clément, j’ai bien réfléchi. Vous avez déjà donné 200 millions, que représentent mes 200000 ?

Clément, remarquant sa détermination, a acquiescé et a déclaré:

— Bien, je ne m’attendais pas à ce que tu aies cette prise de conscience. Ne t’inquiète pas, je ferai undon supplémentaire de 200 000 euros en ton nom. Florentin était excité et a exprimé sa gratitude:

Je vous remercie vraiment beaucoup, Ma?tre Clément.

Clément, se souvenant des mensonges de Florentin plus t?t, admirant son habileté, lui a posé unequestion:

– Florentin, avec ton commerce dans la Rue d’Antiquité, combien tu peux gagner en un an?

Florentin, quelque peu gêné, a répondu :

— Honnêtement, Ma?tre Clément, mes revenus sont très instables. Parfois, je ne peux même pasvendre un seul objet en un mois, mais à d’autres moments, en vendant un objet de grande valeur, jen’ai plus besoin de travailler pendant plusieurs mois.

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