HOMME INACCESSIBLE

Chapter 3609
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Chapter 3609

Chapitre 3609

Quand les agents ont été amenés devant une cage solide, Clovis a abaissé le sac de tissu noir surleurs têtes un par un. En regardant plus d’une douzaine d’hommes avec différentes couleurs de peau,il a dit d’une voix froide :

Puisque vous êtes tous des agents, je pense que vous devriez tous ma?triser le fran?ais hein. Alors jevais vous me présenter, moi je suis Clovis, né à la Cité J! Dans cette région, je n’ai jamais respectéque Ma?tre Clément. Vous, bande de racailles, ici, êtes les chiens élevés par moi, vous devez doncobéir à mes ordres. Sinon, j’ai des moyens de rendre votre vie pire que la mort! La dizaine d’agents secrispait en voyant l’immense cage de fer devant eux.

Nous exigeons un traitement humanitaire ! a crié l’un d’entre eux.

Clovis lui a durement frappé au visage, crachant :

Allez vous faire foutre ! Vous vous êtes faufilés sur notre territoire pour voler nos affaires, commentvous avez aussi la putain de tête de me demander un traitement humanitaire ! Je vous épargne la vieparce que vous serez plus ou moins utiles dans le futur. Mais au lieu de vous agenouiller pourremercier la grace de Ma?tre Clément, vous vous osez parler des bêtises avec moi ? Cela dit, Clovis adit à ses hommes:

– Allez, laissez le soudeur lui souder une muselière en fer que nous avons fabriquée pour les mastiffs.Mettez sa tête dans la muselière et ne le laissez pas manger pendant trois jours! S’il ose encore diredes conneries, recoudez sa gueule !

La férocité de Clovis a immédiatement donné des frissons dans le dos au groupe d’agents bienentra?nés. Tout le monde a donc eu le bon sens de se taire et d’attendre avec anxiété la sentence deClovis.

Ils savaient très bien que leur action, qui consistait à s’introduire dans le Groupe Pan pour voler lessecrets fondamentaux, était illégale, et que leur identité était particulière et ne serait pas reconnue parleur pays si quelque chose tournait mal. Ils ne pouvaient donc que se laisser faire, tout en espérantque leur patrie viendrait à leur secours.

Bient?t, les soudeurs de Clovis ont soudé un masque pour ce malchanceux avec de minces barresd’acier. Avec un masque couvrant son visage, ce gars avait l’air d’un athlète d’escrime. Clovis a utiliséune serrure à trois anneaux pour verrouiller le masque, et a dit d’une voix froide à ce gars:novelbin

Ecoutez bien, si vous osez ouvrir ce masque vous-même, je ferai souder un cercueil en fer pour vousenfermer à l’intérieur ! Compris ?

A l’écouter, l’agent a docilement répondu

– Oui, oui, j’ai compris !

Puis, Clovis a ordonné à ses acolytes:

Enlevez tous leurs vêtements, ne laissez qu’un pantalon à chacun d’entre eux, puis mettez-les tousdans la cage !

Plusieurs hommes de main ont déshabillé les agents et, un par un, ont coupé les liens en nylon deleurs mains et les ont poussés à l’intérieur de la cage. Comme des soldats du Dragon Noir se tenaientà c?té d’eux, aucun de ces agents n’a osé résister et n’a pu qu’entrer honnêtement dans la cage.

Dès qu’ils sont entrés dans la cage, ils ont ressenti une vague de désespoir.

La cage était aussi solide que de l’or pour un être humain, avec des barres de trente millimètressoudées en croix, ne laissant qu’un espace carré de dix centimètres de c?té. Un tout petit peud’espace vide était tout au plus suffisant pour passer le bras. Il n’y avait pratiquement aucunepossibilité de briser violemment une cage si solide..

Une fois les agents entrés un par un dans la cage, tous leurs espoirs reposaient sur la porte en fer.Ces personnes étaient pour la plupart des ma?tres de l’ouverture des serrures. Tant qu’il s’agissaitd’une structure mécanique normale de la serrure, à leurs yeux ce n’était pas trop difficile. Et le momentvenu, ouvrir tranquillement la serrure leur donnerait une occasion de s’échapper. Cependant, alorsqu’ils réfléchissaient à la manière de forcer la porte de la cellule, ils ont vu plusieurs hommes de Clovis,tra?nant des cables électriques et des machines à souder, se précipiter, s’accroupir devant la porte dela cellule et faire craquer la porte en fer. Pendant un moment, les flammes de la soudure ont jailli danstoutes les directions.

Ces agents sont instantanément devenus désespérés à l’extrême.

La porte en fer était soudée, donc s’ils voulaient s’échapper d’ici, il n’y avait pratiquement aucunepossibilité autre que de se découper en morceaux !

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