HOMME INACCESSIBLE

Chapter 3532
  • Prev Chapter
  • Background
    Font family
    Font size
    Line hieght
    Full frame
    No line breaks
  • Next Chapter

Chapter 3532

Chapitre 3532

James était très navré en ce moment.

Les railleries implicites de Claude à l’instant avaient détruit l’estime de soi de cet Américain.

Cependant, celui-ci ne s’était pas donné plus de Contrance.

Il pensait :

Ce qui compte le plus, c’est la vie de Jimmy. Peu importe mon honneur personnel ! »

Ainsi, il a immédiatement pris une décision: il allait partir pour le Pays C tout de suite. Il se mettrait àgenoux devant Claude et se taperait la tête au sol jusqu’à ce que ce dernier accepterait de lui vendredes médicaments.

Ensuite, il s’est relevé pour quitter l’h?tel. En même temps, il a téléphoné à son épouse Jenny:

– Jenny, Claude est retourné au Pays C cette nuit. Tu prends soins de Jimmy. Maintenant, je vaisrentrer prendre mon passeport pour aller voir Claude là !

Jenny a objecté :

Ne te dépêche pas. S’il est revenu cette nuit, c’est certainement pour ne pas t’éviter. A mon avis, il neveut pas te voir chez lui si tót.novelbin

– Alors, qu’est-ce que nous pouvons faire maintenant… a dit James avec beaucoup de regret, si je nevais pas lui demander chez lui, il ne sera pas possible non plus qu’il nous donne des médicamentspour le traitement futur de Jimmy.

Un peu mécontente, Jenny a réagi:

– Comme tu es sot… Il faut bien réfléchir. Pourquoi il était venu te voir chez nous malgré un voyagefatigant? James a répondu sans attendre:

Parce qu’il voulait que je puisse donner un coup de pouce pour le lancement de son médicament sur lemarché américain le plus vite possible.

A ces mots, Jenny a dit:

Donc, tu devras le faire pour lui avant d’y aller, en signe de ta bonne volonté. Autrement, à sa place,agacée par l’attitude. hautaine dont tu as fait preuve, je ne te verrais plus.

Semblant soudain comprendre le conseil de sa femme, James s’est tapé le front et a dit:

– Je vois maintenant ! Je vais tout de suite à la FDA. Je vais préparer une autorisation spéciale pourleur Contrance!

Sur ce, Jenny a poussé un soupir de soulagement.

Son mari a redemandé :

– Comment va Jimmy maintenant ?

Elle a dit:

– Il va bien pour le moment. La maladie est stable. Mais, il ne va pas mieux. Le médecin a prédit que sile médicament spécifique ne faisait plus effet, le cancer devrait s’aggraver à nouveau.

James comprenait aussi que le processus du traitement du cancer n’était pas pareil à celui de laconstruction d’un immeuble. Si au cours de la construction d’un immeuble, on pouvait s’interrompre àmi-chemin, il n’en était pas ainsi pour le traitement du

cancer.

Car, traiter le cancer, c’était comme injecter de l’eau dans un réservoir où il y avait en même temps desfuites d’eau ».

Le patient ne pouvait vivre qu’à condition que la vitesse de l’injection d’eau soit supérieure à celle de lafuite ».

Si on arrêtait d’injecter l’eau brusquement, il y aurait à coup s?r de moins en moins d’eau dans leréservoir.

Aux mots de Jenny, James a dit avec impatience:

Je vais passer à la FDA pour faire la chose. Et puis, je vais prendre le vol pour aller au Pays C le plust?t possible.

– D’accord, a recommandé Jenny, chéri, pour Jimmy, tu devras chercher à persuader M. Claude de tedonner plus de Contrance

– D’accord… a acquiesce James, rassure-toi, je vais le faire par tous les moyens…..

Aussit?t après avoir raccroché, James a conduit sa voiture pour aller dans son bureau au siège de laFDA.

Il n’était pas difficile pour lui de donner une autorisation spéciale pour le Contrance.

Encore que la FDA se pretende établissement de recherches scientifiques aussi neutre qu’équitable,pas mal de commerces clandestins avaient lieu ici.

Ces dernières années, la FDA choisissait de fermer les yeux sur pas mal de produits médicamenteuxet d’appareils médicaux. Ces médicaments et matériel étaient fabriqués soit par des sociétés

pharmaceutiques possédées par un groupe financier influent, soit par des entreprises qui entretenaientdes liens avec l’établissement.

Au titre de James, il était très facile d’accorder l’autorisation pour la commercialisation desmédicaments sur ordonnance sensible, sans parler les médicaments sans ordonnances ordinairescomme le Contrance qui étaient disponibles à toutes les pharmacies.

Si dans le passé, Jarnes avait tardé à donner l’autorisation pour le Contrance, c’était en raison de sonantipathie pour la médecine traditionnelle du Pays C, qu’il avait considérée comme une tromperie.

Malgré tout, il ne voulait pas davantage réfléchir maintenant.

Que le Contrance soit efficace ou inefficace, il souhaitait faire accélérer le processus d’approbation duContrance pour donner une autorisation de mise sur le marché plus vite que possible, de manière àplaire à Claude.

A son avis, ce n’était que par ce moyen qu’il pourrait renouer avec Claude.

A l’heure actuelle, le Contrance était très important pour lui.

Il pouvait non seulement sauver la vie à son fils, mais lui permettre de devenir le héros chez lespersonnels de santé du pays.

Quiconque pourrait introduire ce médicament spécifique contre le cancer aux états-Unis ferait l’objetde l’éloge des peuples. américains.

Par conséquent, il était déterminé à obtenir le Contrance, quoi qu’il en soit.

Use arrow keys (or A / D) to PREV/NEXT chapter