HOMME INACCESSIBLE

Chapter 3526

Chapitre 3526novelbin

Immédiatement, le petit Jimmy a été transféré dans le centre de médecine nucléaire par les médecinset infirmiers.

Après avoir infecté le traceur pois, Jimmy, on l’a envoyé dans la salle d’examen et a fait scanner soncorps entier. Une demi-heure plus tard, on a obtenu le résultat. Un tas de médecins se sont regroupésdevant l’ordinateur pour voir les

images.

Le médecin traitant a retrouvé les images prises d’il y a une quinze jours. Après avoir fait lacomparaison, il s’est exclamé par

étonnement :

– C’est incroyable ! La majorité des lésions sur le corps ont été diminuées de manière substantielle !

Dans la phase terminale, le cancer avait déjà touché d’autres organes tels que les lymphocytes,l’ossature, le foie et les poumons. De plus, toutes les lésions avaient été de grande taille. Parmi elles,la plus grande avait été comme le poing d’un

bébé.

De plus, comme tous les traitements avaient été inefficaces pour Jimmy, les cellules cancéreusesproliférait de plus en plus vite. En même temps, les tumeurs n’avaient pas cessé d’augmenter en taille.

Ainsi, une quinzaine de jours écoulés, on avait cru que les tumeurs devraient grandir.

Pourtant, selon le résultat nouvellement obtenu, les lésions cancéreuses avaient été diminuées !

Le diamètre de la grande tumeur au cerveau qui comprimait les nerfs optique et auditif avait diminuéde 1 millimètre.

Sans ce 1 millimètre, la tumeur ne pouvait pas exercer la pression sur les nerfs.

Les médecins étaient en émoi.

Matthew, expert en pharmacie, a proféré :

– Nous faisons vainement des recherches pour fabriquer des médicaments contre le cancer. Cettepilule est plus efficace que

tous nos médicaments! Merde !

à ces mots, le médecin traitant a soupiré :

– Oui. Nous avons vu l’efficacité de la pilule pour traiter le cancer. Si elle est commercialisée à traversle monde, nous, les médecins spécialistes en oncologie médicale, serons au ch?mage.

James devenait aussi profondément convaincu de l’efficacité de la pilule.

Mais, il ne pouvait pas comprendre pourquoi la médecine traditionnelle du Pays C était tellementpuissante.

Soudain, la mère de Jimmy a sorti une autre pilule et a déclaré avec émotion:

– Il est temps de prendre la troisième pilule!

Sur ce, les autres ont dit avec impatience:

–

Allez ! Administrez cette pilule ! On va voir si elle va faire miracle de nouveau !

Ce soir, tous les médecins de l’H?pital Mérione faisaient volontairement des heures supplémentaires etune nuit blanche.

Certains d’entre eux ne voulaient pas s’en aller, même s’ils n’avaient rien à faire là.

Car, tout le monde était conscient qu’ils étaient en train d’assister à un miracle médical!

Ces médecins très compétents se réunissaient autour de Jimmy pour l’étudier comme unextraterrestre.

Comme prévu, le Contrance continuait à faire effet chez lui. Chaque fois, à peine la pilule administrée,les tumeurs de Jimmy se diminuaient nettement. On pouvait voir le changement de la taille à l’oeil nusur les images.

D’ailleurs, il devenait beaucoup plus en forme.

Comme ce qui était écrit sur l’emballage, ce Contrance lui permettait de retrouver de l’énergierapidement.

Après avoir pris les sept pilules, il était capable de s’asseoir sur le lit et de marcher sur le sol d’un paslourd.

Souffrant du cancer qui s’était propagé aux os, en particulier au niveau des os des jambes depuis plusd’un an, Jimmy était cloué au lit pendant un an.

Donc, les médecins spécialistes s’étonnaient qu’il ait pu marcher sur le sol une dizaine de mètresmême en chancelant. C’était la première fois que les médecins ont assisté à un miracle de ce type

pendant leur carrière. Ils s’émerveillaient comme si Jimmy était un patient atteint de paraplégie hautequi pouvait marcher de nouveau.

Ce soir, le couple James et Jenny était trop ému pour s’endormir.

Mais Jenny était un peu inquiète.

Elle a dit à son mari:

Chéri, est-ce que tu peux t’acquérir une autre boite de Contrance pour Jimmy? A mon avis, s’il enprend une autre boite, il pourra rentrer chez nous pour récupére; !

En disant, elle a recommencé à éclater en sanglots:

– ?a fait trois ans que notre fils ne passe pas la nuit chez nous…