HOMME INACCESSIBLE

Chapter 2932

Chapitre 2932

Quand Clément est sorti de sa douche, il a trouvé que Chloé n’est pas encore rentrée dans leurchambre, alors il a enfilé son pyjama et est venu dans le salon.

Dans le salon, Chloé et ses parents étaient encore en pleine conversation, et étonnamment, Kyan etLorraine, qui s’opposaient toujours l’un à l’autre, n’ont pas eu de querelle aujourd’hui.

à ce

ce moment, Clément est descendu et a demandé avec curiosité :

– Chloé, papa, maman, pourquoi vous ne dormez pas ?

Chloé s’est précipitamment approchée de Clément et a dit en lui prenant le bras:

– Eh bien, il ne te reste que deux heures avant d’avoir 27 ans, et nous attendons de te dire le premierJoyeux anniversaire !

Clément a dit en souriant :

– Merci, merci à vous trois.

Lorraine s’est empressée de dire d’un ton flatteur:

– Oh, de rien, bon gendre!

Sur ce, elle a immédiatement demandé :

– Au fait, Clément, tes clients viendront demain t’offrir leurs cadeaux à la maison comme ils l’ont faitpendant le Nouvel An ?

Entendant cela, Clément restait un peu stupéfait.

En fait, il ne savait pas lui–même si les gens viendraient demain lui offrir des cadeaux, mais enpensant à la scène où les gens faisaient la queue pour lui offrir le cadeau, il avait l’angoisse, donc il adécidé de laisser édmond dire à ces gens de ne pas venir lui offrir des cadeaux à la maison le jour deson anniversaire.

Alors Clément a dit tout en s’occupant à envoyer un message à édmond:

– Maman, la raison pour laquelle ils sont venus m’offrir des cadeaux pendant le Nouvel An, c’estsimplement pour me remercier des services que je leur ai rendus au cours de l’année dernière. Ehdonc, ils ne viendront certainement pas pour mon anniversaire, après tout, l’argent ne tombe pas duciel.

Entendant cela, Lorraine a dit d’un air dé?u:

– Je pensais qu’ils viendraient demain… hélas, il faut patienter jusqu’à la fin de l’année…

En l’entendant, Chloé a secoué la tête, impuissante.

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Onovelbin

Chapitre 2932

Puis, on a commencé à bavarder tous les quatre dans une ambiance paisible.

Chloé et Kyan ont parlé chacun de leur travail.

Chloé, bien que très occupée ces derniers temps, se sent bien enrichie.

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Autrefois, quand elle travaillait au Groupe Xavier, non seulement elle endurait souvent le mépris deMme Xavier, mais Hugo et Vivian cherchaient aussi sans cesse à l’exclure. Bref, sa vie n’était pasfacile à cette époque–là.

Cependant, dès qu’elle a créé son studio, elle pouvait enfin s’accomplir dans le travail sans contrainte.Surtout quand elle est arrivée à obtenir les projets du Groupe Roi les uns après les autres, elleéprouvait une intense satisfaction.

Quant à Kyan, il est devenu le vice–président de l’Association de la Calligraphie et possédait déjà unpeu d’influence chez les amateurs calligraphiques de la Cité J.

Kyan a dit avec enthousiasme :

– Récemment, la Cité J cherche à donner une bonne image de la ville culturelle, et la municipalité aalloué beaucoup de fonds pour soutenir le développement dans le domaine culturel, donc notreassociation a aussi re?u pas mal de subventions.

– Avec les subventions, notre association est passée officiellement d’un groupe civil d’intérêt à uneorganisation semi–publique !

– En outre, la municipalité a aussi donné un bon salaire à tous les personnels à temps plein de notreassociation, alors moi, je toucherai un salaire tous les mois.

Lorraine s’est exclamée avec étonnement:

Ah oui? Tu as maintenant un salaire fixe ?!

Kyan a dit fièrement :

– Oui, c’est vrai et mon salaire est bien élevé, en tant que vice–président, je peux toucher chaque moisun salaire de base de 1 200 euros, c’est le deuxième salaire le plus élevé juste après M. éloi !

Cela dit, Kyan a ajouté :

– D’ailleurs, comme de nombreuses entreprises privées souhaitent aussi se lancer dans ledéveloppement culturel, elles ont non seulement offert une grande assistance financière à notreassociation, mais elles ont aussi échangé beaucoup de ressources culturelles avec nous. Doncrécemment, notre association a organisé successivement pas mal d’activités culturelles.

En l’entendant, Lorraine s’est empressée de demander:

–

Pouvez vous faire des profits par le biais de ces activités culturelles ?