Chapter 258
Chapitre 258
En voyant que le neurologue avait l’air sérieux, Ludovic s’est empressé de lui demander:
– Docteur, qu’est-ce qui ne va pas ? Le neurologue a dit en secouant la tête, impuissant :
– M. Ludovic, votre problème est plus grave que nous le pensions. Les résultats indiquent que les nerfsde votre pénis sont nécrosés. Il n’y a aucun moyen de les soigner.
– Vous n’avez pas de spécialiste assez compétent ? a demandé Brice sur le c?té.
Le neurologue lui a jeté un regard méprisant et a dit :
– Avec les traitements médicaux actuels, nous pouvons aider les nerfs endommagés à guérir, mais nousne pouvons pas ramener à la vie les nerfs nécrosés, ce qui explique pourquoi certains hommes peuventse guérir et se relever après un accident de voiture et que d’autres ne le peuvent jamais.
Il a ajouté en regardant Ludovic:
– Vos troubles d’érection semblent être très graves. Même à l’étranger, il n’y pas de traitement contrecette maladie.
– Ce n’est pas possible!
Tout pale, Ludovic a perdu dans ses pensées, puis laché : – J’ai beaucoup d’argent ! Dix millions d’euros! Je vous donne dix millions d’euros ! Vous pouvez me guérir? Le neurologue a dit sérieusement : novelbin
– Les nerfs sont comme la vie humaine. S’ils sont blessés, ils peuvent toujours être sauvés. S’ils sontnécrosés, ils sont morts. Il n’y a que les morts qui ne reviennent pas.
Il a ajouté en disant:
– Même si vous me donnez un milliard d’euros, je ne peux rien faire pour vous. Vous connaissez SteveJobs, le père d’Apple ? Il était le plus riche du monde, mais il est quand même mort à la cinquantaine.
En entendant cela, Ludovic s’est figé et ne croyait pas à ce qui lui était arrivé. « Je ne peux jamais meguérir ? » « Est-ce vrai que je n’ai aucune chance de me guérir ? »
« J’ai gagné tant d’argent pour pouvoir vivre une vie merveilleuse. Si j’étais impuissant pour toujours, jen’aurais aucune raison de vivre, aucune ! » s’est dit-il.
En pensant à cela, le fameux magnat des affaires Ludovic s’est couvert le visage et a sangloté, enfondant en larmes. En voyant la scène, Brice, qui était à c?té de lui, avait également envie de pleurer, leslarmes aux yeux. En tant qu’homme, Brice comprenait bien la souffrance de Ludovic. En même temps, ilne pouvait s’empêcher de serrer les jambes en pensant : «Quoi qu’il arrive, je dois bien protéger monpénis ! Un homme ne peut pas se permettre d’être impuissant ! » A ce moment-là, le neurologue a reprisla parole:
Soit honnéte, je pense qu’il y a une personne qui peut guérir votre maladie, M. Ludovic. – De quoi tuparles ? C’est vrai? a dit Ludovic, emballé, qui a pris sa main pour demander, qui peut me guérir ? Dis-moi vite ! Le neurologue a souri mystérieusement et répondu : – Cette personne, elle ne travaille pas ànotre h?pital. – Alors, comment sais-tu qu’il peut me guérir ? N’as-tu pas dit que les nerfs de mon pénissont déjà morts? Le neurologue a dit :
– Oui, c’est vrai, mais il est définitivement la seule personne à pouvoir vous sauver. Il peut même guérirla paraplégie haute, sans parler de la « paralysie » de votre pénis. Donc, je suppose que ce n’est pasdifficile pour lui de vous soigner.
Ludovic était si exalté qu’il lui a demandé immédiatement :
– C’est qui la personne ? Où est-il ? Dis-moi vite ! Le neurologue a dit avec un sourire :
– M. Ludovic, je peux le présenter à vous. Voulez-vous me payer une petite cominission ? Ludovic a sortison carnet de cheques et lui a fait un chèque de dix mille euros, en disant:
– Si la personne peut me guérir, je vous payerai 90 mille euros de plus Le neurologue a pris le chèque,très ravi, et a dit :
-Il y a un médecin éminent à la Cité J, qui a guéri un cas de paraplégie il y a quelques jours. C’estvraiment un miracle. Il a ouvert la Pharmacie Bertillon. Si vous allez demander son aide, il pourra vousproposer un traitement médical.
Hébété de stupeur et de joie, Ludovic a dit :
– Le médecin éminent dont tu parles est bien Remi Bertillon ?