Female Novel
Chapter 1806
Chapitre 1806
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– Quelles conneries! s’est écrié Mathieu avant que Lorraine ne puisse l’interrompre.novelbin
Il l’a giflée violemment en ajoutant:
– Tu me prends pour un enfant de trois ans ? Ne sais-tu pas que Clément s’est déjà marié ?
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Je sais… a sangloté Clélia, je le sais. C’est justement pour ?a que je n’ai pas d’autre choix que deséparer Clément et Chloé pour que ma fille puisse avoir une chance!
Mathieu a ricané:
– Tu es une femme malhonnête. Je peux le voir dans tes yeux. Tu ne m’as pas dit la vérité !
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Clélia était très nerveuse.
Elle n’avait pas une grande résistance émotionnelle. Elle était arrogante, mais cela semblait davantagevenir du fait qu’elle soit issue d’une famille aisée que d’une réelle supériorité intellectuelle. Elle avait agisans hésitation et sans crainte des intentions malveillantes des autres envers elle.
Cependant, ce n’était pas la Cité Y et elle avait sous-estimé l’intensité de la haine de Mathieu enversClément. A ce moment-là, Mathieu ne cherchait qu’à donner une le?on à Clément et à trouver uneoccasion de le tuer par la suite. Il ne pouvait donc pas raisonner avec Clélia.
Si cette dernière ne pouvait pas prouver de manière convaincante qu’elle n’était pas la tante de Clément,Mathieu préférerait commettre une erreur plut?t que de la laisser partir.
Monsieur, puisque vous détestez autant Clément, vous savez certainement qu’il est un orphelin depuisson enfance et a grandi dans un orphelinat. Comment pourrais-je être sa tante? Si j’étais sa tante,comment pourrais-je laisser mon neveu vivre à l’orphelinat pendant tant d’années ? a imploré Clélia, enlarmes.
Mathieu a éclaté de rire :
– Qu’est-ce qui est impossible? Lorsque mon petit beau-frère est mort, il a laissé une petite fille. Cettepetite fille est la nièce de ma femme. Ma femme a voulu la prendre pour l’élever, mais je n’ai pasaccepté. Donc, cette petite fille vit toujours dans l’orphelinat. Tu es dans la même situation qu’elle.
Clélia était stupéfaite et ne savait plus que faire.
A ce moment-là, Hugo, à c?té d’elle, a fouillé dans son sac et a sorti un document de son portefeuillequ’il a tendu à Mathieu en souriant de manière flatteuse :
– M. Mathieu, regardez ! Cette femme s’appelle Clélia Huet et elle vient de la Cité Y!
Mathieu a immédiatement froncé les sourcils.
Bien que les Huet ne soient pas nombreux, ils n’étaient pas pour autant rares. C’est pourquoi Mathieun’avait pas lié Clélia aux Huet de la Cité Y.
Cependant, Mathieu a découvert que son nom de famille était Huet, et presque instantanément, il aconclu qu’elle était certainement la tante de Clément.
Il a alors attrapé les cheveux de Clélia et l’a giflée plusieurs reprises, la laissant pleine de sang dans labouche, puis a dit froidement :
– Quel courage ! Tu oses me tromper ! Tu penses vraiment que je suis si facile à tromper que ?a ?
Clélia était désespérée, pleurant :
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1. Mathieu, s’il vous pla?t, laissez-mol partir. Je n’ai rien contre vous, pourquoi me frapper encore…Les
erreurs ont toujours une cause et une conséquence. Clément vous a offense, alors allez le tuer. Ne mefrappez pas, s’il vous plait…
Si ce n’était pas le dernier recours, Clélia n’oserait pas révéler sa véritable identité. Elle savait que si ellele faisait, cela pourrait renforcer la détermination de Mathieu à la tuer.
Donc, elle était déterminée à tenir bon.
Si elle n’avait vraiment pas d’autre choix, elle utiliserait sa véritable identité pour faire un dernier effort.
A ce moment-là, Mathieu a arboré un sourire cruel et a répliqué:
– Tu dis que tu n’as rien contre moi ? Je te le dis, tous les parents et amis de Clément sont mes ennemis! Vous deux, l’un est la tante de Clément, l’autre est sa belle-mère, donc vous deux ne pouvez pas vousenfuir! Ensuite, il a immédiatement ordonné à l’un de ses gardes du corps à c?té de lui:
Tra?ne la tante de Clément dehors et tire une balle directement dans sa tête !