HOMME INACCESSIBLE

Chapter 1781
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Chapter 1781

Chapitre 1781

Dès que Clélia est partie, édmond s’est empressé de demander aux trois employées :

Mais qu’est-ce qui vient de se passer ?

Sabione s’est étranglée :

– M. édmond, elle s’est fachée et a bouleversé la table, la gérante nous a fait venir pour nettoyer le

sol, puis elle nous a soudainement frappées et à donné un coup de pied à la gérante dans le ventre,

elle est enceinte, j’ai d? appeler une ambulance et elle a fracassé mon téléphone…

La gérante, assis par terre, le visage douloureux, a dit :

– M. édmond, c’est de ma faute, ne vous en prenez pas à eux deux, si vous voulez les punir, punissez-moi seul !

édmond a soupiré et a dit :

– C’est ma faute, je n’ai pas bien protégé tout le monde, je vous fais hospitaliser immédiatement, je vousdonne au moins un mois de congé et je vous donne 20 000 euros à chacun. Je contacterai le meilleurgynécologue de la Cité J et je ferai tout ce qu’il faut pour que le bébé aille bien. Si le bébé va bien, jevous paierai encore 20 000 euros; sinon, je vous paierai encore 50 000 euros et je vous donnerai un ande congés payés, pour que vous puissiez vous reposer et récupérer !

Lorsqu’édmond a dit cela, tout le monde a été complètement soulage.novelbin

Elles avaient craint qu’édmond prenne les ordres de Clélia et les punisse sévèrement.

Elles ne s’attendaient pas à ce qu’édmond soit aussi protecteur envers elles, et il était rare de trouver unpatron aussi gentil!

Voyant les trois femmes pleurer et le remercier, édmond n’a pas pris la peine de les persuader et aprécipité les agents de sécurité pour les emmener d’urgence à l’h?pital.

Après les avoir toutes emmenées à l’h?pital, il a soupiré dans son bureau :

Je ne sais pas combien de temps Clélia va rester à la Cité J, et je ne sais pas ce qu’elle va faire d’autre,mais je ne suis qu’un subordonné des Huet, alors je ne peux pas l’en empêcher. Je ne peux rien faire,alors nous ne pouvons compter que sur le jeune ma?tre !

Clément ne pensait pas beaucoup à sa tante et, une fois rentré chez lui, il s’est mis à travailler avec safamille pour préparer les festivités du Nouvel An.

Comme c’était la première fois qu’ils célébrer cette fête à la villa du Quartier Glitact, la famille l’a pris trèsau sérieux.

Chloé avait acheté beaucoup de décorations et de fleurs, et elle avait l’intention d’embellir

elle-même la maison.

Lorraine, paresseuse mais vaniteuse, voulait que la maison soit belle pour pouvoir prendre plus dephotos et les montrer sur Facebook, alors elle a suivi l’exemple de Chloé.

Lorsque Clément est revenu, il s’est joint à elles.

Chloé a sorti d’une grande bo?te en carton un lot de lanternes joliment fabriquées et a dit à

Lorraine :

– Maman, je veux décorer la terrasse du troisième et du premier étage, et accrocher ces lanternes

à la balustrade de la terrasse, elles seront superbes à la tombée de la nuit.

Lorraine a accepté sans hésiter:

Bien s?r ! J’irai les accrocher tout à l’heure !

Chloé a dit :

– Maman, il y a autre chose dont j’aimerais discuter avec toi.

Lorraine a souri et a dit :

– Bien s?r ! Dis-moi juste ce que tu as!

Chloé a dit en hésitant :

– Il y a des affiches qui se trouvent sur la terrasse du troisième étage, pourquoi on ne les enlèverait pas?

Lorraine n’a pas hésité en entendant cela,

Pas question! Ces affiches sont pour Brice, pour qu’il les voie tous les jours en se réveillant, mais si jeles enlève, je le laisse tranquille.

Chloé était impuissante:

Maman! C’est bient?t le jour de l’an, et si l’on a encore autant de posters dans notre maison, ?a ne vapas être beau!

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