HOMME INACCESSIBLE

Chapter 1739
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Chapter 1739

Chapitre 1739

Quand lyo est revenue de la salle de bain, on ne voyait plus les larmes sur son visage, seuls ses yeuxétaient légèrement rouges.

Elle s’est délibérément lavé le visage avec de l’eau froide.

De retour dans la boutique, lyo a pris l’initiative de demander à Clément en souriant:

1. Clément, la bague a-t-elle été ajustée ? Veux-tu que je l’essaie à nouveau ?

Clément a souri et a acquiescé,

– Oui! Merci beaucoup !

lyo a souri doucement:

– Pas besoin d’être si poli, M. Clément.

Sur ce, elle a tendu à nouveau sa main droite et a dit en souriant:

Allez ! Essaie encore !

Sans réfléchir, Clément a pris l’anneau ajusté et l’a de nouveau placé à son annulaire droit.

Cette fois, l’anneau a atteint la taille parfaite.

lyo elle-même n’a pu s’empêcher de regarder attentivement la bague en diamant pas si chère dans lalumière.

Cette bague, bien qu’elle ne soit pas aussi glamour que les bagues à plusieurs millions d’euros que l’ontrouvait dans les mains des célébrités, avait un charme unique.

Elle était simple, belle et émouvante.

Clément a regardé la bague sur la main d’lyo et l’a également appréciée de plus en plus.

Il savait que sa femme n’avait pas de préférence pour des bijoux extravagants, mais cette bague luiviendrait bien selon lui.

En y pensant, il n’a pu s’empêcher de détourner son attention de la bague pour la porter sur le visaged’lyo.

En fait, cette bague convenait mieux à lyo qu’à sa femme.

Clément n’y a plus pensé.

lyo a porté l’anneau pendant un long moment, le regardant avec joie et désespoir, avant de l’enlever à

contrec?ur et de le tendre à Clément:

Elle a dit :

1. Clément, si tout va bien, laisse la vendeuse te l’emballer !

– Oui!

Clément a vu que la bague lui allait bien, alors il a souri et a dit à la vendeuse :

Bonjour, aide-moi à emballer cette bague, s’il te pla?t.

Oui monsieur !novelbin

Et la vendeuse était heureuse.

Bien que Tiffany soit également une marque très connue, la plupart des bagues en diamant co?taiententre 10 000 et 20 000 euros. Les bagues de plus de 20 000 euros étaient rarement achetées et ilarrivait parfois qu’aucune ne soit pas vendue toute la semaine.

On vendait seulement quelques bagues comme celle que Clément a choisie, avec un prix plus de 10000

euros, en un an.

La vendeuse a donc immédiatement traité Clément comme un précieux client VIP et, tout en emballantsoigneusement la bague pour lui, elle lui a dit :

Monsieur, si vous n’avez besoin de rien d’autre, veuillez me suivre à la caisse.

Clément a répondu :

– Il n’y a pas d’urgence, je veux encore voir le bracelet.

Une bague était un gage d’amour entre amoureux, il a donc acheté cette bague pour sa femme, mais ilne pouvait pas acheter la même chose pour sa belle-mère.

Donc, Clément allait acheter un bracelet d’environ 20 000 euros.

Un bracelet de 20 000 à 30 000 euros pourrait rendre Lorraine assez heureuse.

Lorsque la vendeuse a entendu que Clément voulait acheter un bracelet, elle a immédiatement dit:

Un instant, monsieur, je vais demander à la vendeuse en charge des bracelets de vous montrerquelques

modèles.

Dans leur boutique, chaque vendeur avait son propre domaine, et celle-ci était en charge des bagues endiamant, donc c’était une autre vendeuse responsable des bracelets.

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