HOMME INACCESSIBLE

Chapter 1525
  • Prev Chapter
  • Background
    Font family
    Font size
    Line hieght
    Full frame
    No line breaks
  • Next Chapter

Chapter 1525

Chapitre 1525

T?t le lendemain matin, Clément était sur le point de faire ses adieux à la famille de Clothilde, puis deprendre un taxi pour se rendre à la gare, mais de manière inattendue, Bitoric a insisté pour l’y amener enpersonne.

En plus de Bitoric, il y avait également Sonia et Clothilde.

Clément ne voulait pas les fatiguer, mais il avait du mal à repousser la grande hospitalité de ceux–ci et iln’a donc pu qu’accepter finalement.

Sur le chemin, Bitoric conduisait sa berline Rolls–Royce, Sonia était assise sur le siège passager dedevant et Clément et Clothilde étaient assis à l’arrière.

Clothilde était encore très déprimée, mais puisque ses parents étaient dans la voiture, elle n’a pas parléet elle a semblé être très pensive pendant tout le trajet.

Voyant que le contour de l’aéroport pouvait déjà être vu à l’extérieur de la fenêtre, Clothilde a pris soncourage à deux mains et a tendu la main, a attrapé tranquillement la paume de Clément et a saisifermement la main de celui–ci avec ses petites mains.

Clément a tourné inconsciemment la tête pour la regarder et a trouvé que Clothilde le regardait avec desyeux pleins de ressentiment, il ne pouvait s’empêcher de se sentir un peu coupable.

La Rolls–Royce s’est garée doucement à la porte de l’étage des départs de l’aéroport, et Clément adoucement retiré sa main de celles de Clothilde et a dit à tous les trois :

– Oncle Bitoric, tante Sonia et Clody, vous n’avez pas besoin de descendre de la voiture, il y a beaucoupde monde à l’aéroport, et vu que Clothilde est une star, il serait inapproprié que les gens la voientcomme ?a.

Clothilde a dit à la hate :

Je peux porter un masque !

Sonia a déclaré en ce moment–là :

Non Clody, même si tu portes un masque, tu ne pourras raccompagner Clément que jusqu’au point decontr?le de sécurité, alors ne prends pas ce risque.

Bitoric a également hoché la tête et a dit :

– C’est vrai, n’apporte pas des ennuis à Clément.

D’accord…

Clothilde ne pouvait que hocher légèrement la tête, elle a regardé Clément et a dit :

Clément, n’oublie pas de nous envoyer un message après ton embarquement et ton atterrissage.

Clément a souri et a dit :

– D’accord, j’y manquerai pas, ne vous inquiétez pas.

Après avoir fini de parler, Clément est sorti de la voiture et a pris un petit sac dans le coffre.

Ensuite, il a dit au revoir aux trois membres de la famille Benett par la fenêtre de la voiture, s’estretourné et est entré à l’aéroport.

Dès qu’il est entré dans l’aéroport, il a re?u un appel de Lucile :

– Clément, es–tu déjà arrivé à l’aéroport ?

Clément a dit :

– Je suis arrivé et je suis sur le point de passer le contr?le de sécurité.

Lucile a dit à la hate :

– Alors, tu vas entrer en premier, il y a un embouteillage de mon c?té, j’arriverai dans environ 20minutes, je ne devrais donc pas rater mon avion.

Clément a fait « oui » de la tête et a dit :

– Alors rencontrons–nous à la salle d’attente ou à la porte d’embarquement, et si on ne se voit pas surces deux endroits, nous pouvons également nous rencontrer dans l’avion.novelbin

– Aucun problème !

Clément a raccroché le téléphone, a passé seul le contr?le de sécurité et s’est rendu au terminal T3.

Le terminal T3 de l’aéroport de la Cité Y était très grand et abritait de nombreux magasins de luxe, cesmagasins étaient essentiellement des grandes marques internationales.

Clément pensait qu’il n’avait préparé que du thé de Savin pour son beau–père et qu’il n’avait paspréparé de cadeaux pour sa femme et sa belle–mère Lorraine.

Et en se rappelant que quand il partait, sa belle–mère l’avait flatté et lui avait demandé de lui apporterdes cadeaux, et qu’elle s’était bien comportée ces jour–là, il a donc vraiment eu envie de se montrergentil avec elle en lui achetant un cadeau.

Quant à sa femme Chloé, il devait naturellement lui préparer soigneusement un cadeau.

Alors, il en a profité pour faire du shopping dans les magasins de l’aéroport.

Mais Clément ne pouvait pas penser aux cadeaux qu’il devait acheter à sa femme et à sa belle–mèrependant un certain temps.

Pensant que les femmes de tout age aimaient les sacs, Clément est entré sans la moindre hésitationdans une boutique d’Hermès.

Dans cette boutique, les prix des sacs variaient considérablement. Le prix le moins élevé était d’environ10 000 euros, mais ce n’était qu’un point de départ. Leurs produits haut de gamme pouvaient co?terjusqu’à des centaines de milliers d’euros. à cause des vêtements ordinaires de Clément, la gérante de laboutique qui était une femme un peu hautaine avait une attitude un peu méprisante à son égard, maiselle n’a pas tenu de propos blessants à l’égard de Clément, cependant son attitude était plus ou moinsirrespectueuse.

Clément n’a pas prêté trop d’attention à cela, il a regardé autour de lui dans la boutique, et il a été séduitpar un

impressionnant sac à main en cuir de crocodile qui se trouvait dans la vitrine, et en plus de cela, ce sacétait une édition limitée.

Ce sac à main était de couleur orange qui était la couleur classique d’Hermès, la texture du cuir étaitparfaite et la finition était très exquise. Il convenait très bien à un usage de loisirs de même qu’à unusage professionnel.

Clément a salué la gérante de la boutique et a dit :

Salut, je veux acheter ce sac, veuillez l’emballer pour moi s’il vous pla?t.

Use arrow keys (or A / D) to PREV/NEXT chapter