HOMME INACCESSIBLE

Chapter 1515

Chapitre 1515novelbin

A l’écouter, tous les présents ont été choqués !

Le fils de Méverin, c’était Clément Et les Huet s’étaient tenu au courant de sa survie quand Didier avaitdemandé à Savin de donner à Clément le Groupe Roi.

Sauf Didier, les autres restaient vigilants et même hostiles contre Clément, de crainte qu’il revienne ets’implique dans la bataille de fortune et de pouvoir.

Heureusement, Clément avait refusé la demande de Savin et n’était pas revenu à l’époque, celasoulageait un peu les Huet; mais ils étaient quand même mécontents du fait que Didier lui avait donnétant d’argent et un grand groupe.

Les Huet avaient une grande fortune, mais beaucoup de descendants. Didier Huet avait quatre fils, deuxfilles et quatorze petit–enfants Bien qu’ils occupent des postes importants dans l’empire financier desHuet, ils n’auraient pas cent milliards par personne même si la fortune se divisait en moyenne.

Par conséquent, le fait que Clément seul avait le Groupe Roi rendait les Huet envieux.

Au fait, les Huet avaient fait opposition à cette décision partiale, mais Didier avait insisté pour le faire,parce que les Huet devaient beaucoup à la famille de Méverin.

A contre–c?ur, les Huet l’avait accepté, après tout, ils perdraient plus si Clément revenait et se disputaitpour la fortune. C’était bien de le laisser dehors comme un prince vagabond.

Mais maintenant, Didier essayait de le laisser revenir et s’engager avec un membre des Chappuis, ceserait certainement un grand désastre!

Alors, Philbert a crié :

– Pére! Exilé depuis si longtemps, le fils de Méverin n’a jamais re?u la formation supérieure, ni laformation familiale, ce n’est qu’un voyou. Si nous le laissons s’engager avec elle, ce sera tellementridicule ! Encore, je me souviens qu’il est marié ! – Exactement ! a ajouté Mathéo, tous les enfants cheznous re?oivent la meilleure éducation ! Ils sont tous les élites dans le domaine de commerce et degestion, équipés même de beaucoup de langues, de l’équitation et du golf; quant au fils de Méverin, cen’est qu’un orphelin et titulaire de bac, comment serait–il possible que Mlle Claudia acceptera un maricomme lui?

Les autres ont également fait chorus.

Savin a expliqué sans expression:

– M. Clément a re?u l’enseignement supérieur, seulement pas fini. De plus, je le connais bien, et jetrouve chez lui l’allure de M. Méverin, c’est un vrai génie !

Gilles a grondé à haute voix :

– Savin, tu n’as pas le mot ici ! Tu dois conna?tre ta place, hein. C’est notre réunion familiale, un étrangercomme toi n’a pas le droit de parler ici !

Savin s’est défendu quand même :

– Bien que je ne fasse pas partie des Huet, je dois à M. Méverin une vie, et j’ai juré de travailler pour lesHuet pour toujours! Donc je serai responsable de ma parole!

-Bah, a ricané Josselin, je te connais bien. Tu ne travailles pas pour les Huet, mais pour mon oncleMéverin seul. C’est pourquoi tu as caché Clément et escroqué mon grand–père de lui acheter le GroupeRoi. Maintenant, tu essaies encore de lui faire rentrer? D’après moi, tu veux l’aider à se disputer pour letr?ne de chef des Huet, c’est ?a ?

A ses mots, tous les Huet ont changé d’air; y compris Didier qui est resté bouché bée.