HOMME INACCESSIBLE

Chapter 1124
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Chapter 1124

Elle s’est retournée vers Clément, les larmes et les sentiments dans ses yeux :

– Ma?tre Clément, si tu peux m’accepter, je peux te confier de tout gré moi et ma famille ! A l’avenir, tu esle vrai chef des Poincaré ! Je ne veux rien d’autres que d’être ton amante, de rester à tes c?tés et defaire tout comme tu le veux…

Clément était inévitablement touché par son discours sincère.

Il devait avouer que Gisèle était excellente, non seulement en son apparence et ses caractères, maiségalement sa culture et ses compétences. A vrai dire, c’était un type idéal des dames nobles. Donc, ilétait surpris du fait qu’une telle dame soit follement amoureuse de lui.

C’était vraiment une blague de dieu: pour la fidélité du mariage et l’amour profond envers Chloé,Clément ne pouvait jamais l’abandonner face à l’amour d’une autre femme, même si c’était Gisèle.

Cependant, la voyant fondre en larmes, il se sentait désolé et douloureux. A cause de l’amour pourChloé et de la pitié envers Gisèle, Clément s’est plongé dans un dilemme.

Gisèle attendant sa réponse d’un regard plein d’amour, il restait muet quelques minutes avant desoupirer:

– Gisèle, je comprends et je tiens à tes sentiments, mais je ne peux pas quitter ma Chloé, donc, excuse–moi.

A ses mots, elle s’est sentie lésée, les yeux embués de larmes :

– Ce n’est pas grave, Ma?tre Clément. Je sais, c’est difficile de ta part à m’accepter dans un tel cas. Maisje vais t’attendre, toujours et toujours, jusqu’au bout de ma vie.

A quoi sert gaspiller ta belle vie sur moi? Il y a autant d’hommes meilleurs que moi. Ne fais aucunepromesse avec ton bonheur, ni obéis à tes impulsions pour faire quelque chose de regrettable.

– Non, a répondu Gisèle d’un ton ferme, je ne fais ?a pas par mes impulsions. Et je ne crois pas qu’il yait d’hommes meilleurs que toi! Tu sais, je suis si têtue que je ne changerai jamais mon amour pourquelqu’un ou quelque chose.

Pour faire preuve de sa fermeté, elle a levé le poignet, a montré l’ancien bracelet que sa mère lui avaitlaissé et a dit sérieusement :

Tout comme ce bracelet, il existe chez moi beaucoup de bracelets plus exquis et plus précieux que lui,mais je ne les aime pas ! Je n’aime que ?a, pour toujours, et cet amour est inchangeable !

Clément a pris un air sincère :

– Gisèle, tu as vingt–six ans aujourd’hui. Pourquoi pas profiter de ta jeunesse pour chercher ton vraibonheur ? Rester à mes c?tés, ?a ne vaut pas la peine. Après tout, j’ai déjà mon propre bonheur.

Gisèle a insisté :

– Mais je peux attendre !

– Attendre quoi ? Mon divorce? Mais si je ne divorce jamais ? novelbin

– Je peux attendre ! elle était toujours têtue.

– Au moins, si je divor?ais vraiment, ce serait ta honte d’épouser un homme remarié comme moi, non?

– Je n’en ai pas peur ! Je ne tiens pas à d’autres, qu’à mon amour! Tant que tu m’acceptes comme tonamante, je me fiche de tout !

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