HOMME INACCESSIBLE

Chapitre 1075

Chapitre 1075

Lorsque Brice est sorti de la salle avec une pile de rapports d’examens médicaux, Mme Xavier s’estavancée précipitamment et lui a demandé:

– Qu’a dit le médecin ? Quel est ton état de santé ? Es–tu atteint d’une quelconque maladie grave?

Brice ne voulait pas vraiment le dire à Mme Xavier, mais quand il a pensé que Mme Xavier allaitcertainement regarder les divers rapports d’examens médicaux une fois qu’ils seraient de retour chezeux, il a su qu’il était inutile de lui mentir en ce moment–là, alors il a dit que un ton très désespéré :

– Le médecin m’a dit qu’il est très probable que j’aie la gonorrhée, la syphilis, une certaine inflammation,et la possibilité du SIDA n’est même pas exclue…

Lorsque Mme Xavier a entendu cela, son visage a montré de la peur et elle a inconsciemment reculé dequelques pas.

Brice a pensé que Mme Xavier était effrayée et qu’elle allait peut–être s’évanouir, alors il s’est dépêchépour la tenir.

Mais au final, il ne s’attendait pas à ce que Mme Xavier agite précipitamment les mains et lui dise avechorreur :

– Tiens–toi loin de moi, ne me touche pas, le SIDA est une maladie mortelle, et moi je ne veux pas

mourir maintenant…

Aussit?t après avoir entendu ceci, Brice est devenu extrêmement ancieux et il s’est rendu compte que samère avait donc peur qu’il ne l’infecte.

<< Ma mère est vraiment réaliste ! >>

Alors il n’a pu que soupirer et dire:

Maman, puisqu’il en est ainsi, alors tu peux m’attendre ici, et je vais aller faire les autres tests

moi–même.

–

Mme Xavier a dit à la hate :

– Oh, j’ai pris de l’age et je suis un peu fatiguée. Je vais d’abord rentrer chez moi. Lorsque les résultatsdes autres tests sortiront, n’oublie pas de prendre des photos et de me les envoyer sur Messenger dèsque possible.

En fait, Mme Xavier n’est pas fatiguée, elle avait juste peur d’être infectée.

La mort était la chose dont Mme Xavier avait le plus peur.

Tout ce qui était lié à la mort, ou qui pouvait lui être fatale, elle s’en éloignait et la fuyait comme la

peste.

Maintenant qu’elle venait d’apprendre que son fils a?né pourrait avoir le SIDA, la première chose àlaquelle elle a pensé n’était pas la vie de son fils qui était peut–être en danger, mais elle a pensé à sa

propre vie.

Brice savait aussi quel genre de personne était sa mère, il a soupiré d’impuissance et a dit :

– Tu peux rentrer à la maison si tu veux, mais tu dois me donner de l’argent, sinon je n’aurai pas de quoipayer les frais des tests ou acheter des médicaments au cas où le médecin m’en prescrirait tout à

l’heure.

Tout en prenant la sortie; Mme Xavier a dit sans se retourner :

– Je vais immédiatement te transférer 1000 euros sur ton compte bancaire, et tu me diras si les 1000

euros ne te suffisent pas pour que je puisse encore t’envoyer de l’argent.

Au moment où elle a fini de parler, elle a déjà franchi la porte de sortie du département d’andrologie.

Brice était très déprimé et il s’est dit dans son c?ur :

<< Ma mère a toujours fait preuve d’une égo?sme hors du commun, je ne suis pas du tout surpris de lavoir se comporter ainsi ».

Cependant, la chose la plus urgente pour lui en ce moment–là était de confirmer rapidement de quellesmaladies il était atteint.

La gonorrhée et la syphilis n’étaient pas un gros problème, il lui fallait juste quelques traitements pour yremédier, en ce moment–là il se disait que tant qu’il n’a pas chopé le SIDA, tout le reste était gérablepour

lui.

Il pensait que s’il attrapait vraiment le SIDA, il lui serait fatal, le cas échéant, il prévoyait de rentrer chez

lui et de tuer directement Mireille…

Brice est resté à l’h?pital pendant un après–midi et a fait beaucoup de tests. Les resulstats des testsn’ont fait que confirmer le diagnostic initial du médecin. novelbin

Premièrement, la gonorrhée et la syphilis sont confirmées.

Deuxièmement, il avait une uretrite grave.

Et en sus de cela, il avait un ulcère et des suppurations.

Mais heureusement pour lui, il n’a pas attrapé SIDA.

Immédiatement après, le médecin lui a préparé un plan de traitement qui débutait par un cycle detraitement d’une durée de 14 jours.