HOMME INACCESSIBLE

Chapter 1051
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Chapter 1051

Chapitre 1051

Ce n’était pas étonnant que le chauffeur ait eu peur, sachant qu’ils n’avaient vu persoone durant le

voyage.

C’était quand même effrayant de découvrir soudain une personne debout au milieu de la route enpleine nuit.

En s’approchant de l’ombre, Porthos a appris, sous le choc, que c’était un jeune homme devant eux, et alaché:

– C’est… C’est vraiment un être humain !

L’homme au milieu de la route avait l’air très jeune. Il portait des vêtements fins, les mains derrière ledos. Il était calme, avec un léger sourire, en décalage avec le froid et la neige de la Montagne Blanc.

Cet homme était bien Clément.

Et édmond et ses subordonnés se cachaient dans l’ombre à dix mètres derrière lui.

Clément leur avait dit de bien regarder le « spectacle ».

Le chauffeur a dit nerveusement, en fixant le jeune homme à l’extérieur :

Frère, je trouve bizarre de croiser quelqu’un dans ce lieu funèbre. Il semble qu’il vient pour nous. Je

l’écrase ?

――― novelbin

Porthos a réfléchi un instant, puis a dit :

– Il est tout seul, mais nous sommes huit. Puisqu’il ose nous attendre ici, il n’est pas ordinaire. Sinon, il

y aurait des pièges. Arrêtons–nous et descendons pour voir ce qui se passe !

Clément était très calme, avec l’amulette du tonnerre dans la main, sans avoir aucune peur qu’ilsl’écrasent avec les voitures.

Son amulette du tonnerre pouvait appeler les coups de tonnerre céleste. Si les Huit Ma?tres l’attaquaientde front en voiture, il dirigeait simplement la foudre et jetterait leurs voitures des falaises pour mettre fin àce combat.

Heureusement, Porthos n’a pas sous-évalué leur ennemi. Les deux voitures se sont lentement arrêtéesà plus de dix mètres du jeune homme.

Les Huit Ma?tres sont descendus.

Porthos a avancé à grands pas, a examiné le jeune homme avec les phares allumés, puis a ditfroidement :

Petit, qui es–tu ? Tu as barré la route des Huit Ma?tres.

Clément a souri légèrement en disant:

Clément, le gendre des Xavier, le gendre le plus connu de la Cité J.

Porthos a été choqué.

Ils avaient parlé de lui en voiture, pensant que s’il était aussi là, ils pourraient l’éliminer avec les autres,mais ils n’avaient jamais cru qu’il était vraiment là.

Et cela ne semblait pas réel du tout.

Quand ils étaient partis, il était encore à la Cité J. Alors, pourquoi était–il arrivé avant eux?

La science moderne ne pouvait pas l’expliquer.

Porthos a rapidement oublié cela et lui a demandé d’une voix froide :

– Clément, savais–tu que nous viendrions ici?

Exactement, a–t–il répondu avec un léger sourire, je pensais que vous étiez de grandes figures, mais jene m’attendais pas à ce qu’il s’agisse de huit vieux messieurs. A vous huit, vous avez 400 ans, non? LesHuit Ma?tres n’étaient effectivement pas jeunes et le plus jeune parmi eux avait déjà la cinquantaine.Alors, Clément avait raison.

En voyant que les Huit Ma?tres étaient méprisés, Porthos a dit, mécontent:

– Nous avions l’intention de garder ta vie jusqu’au jour où nous passerions tous les huit à la Cité J. Jen’aurais jamais imaginé que tu étais venu à nous. C’est bien que nous n’ayons pas à faire un autrevoyage à la Cité J pour prendre ta vie.

Clément a dit en souriant à froid:

– Prendre ma vie ? ?a dépend de vos compétences !

– Arrête les conneries ! a ricané Porthos, Clément, écoute bien. Il y a une raison pour laquelle noussommes ce que nous sommes. Nous sommes célèbres dans ce monde depuis des dizaines d’années.Aujourd’hui, je laisse notre plus jeune frère Florian se battre au nom des Huit Ma?tres ! Il est le dieu desmorts, connu par ses « poings de fer ». Si tu perds la vie en le combattant, tu ne désiras rien de plus.

En entendant cela, Clément a ricané, en montrant un sourire méprisant :

– Le dieu des morts ? Très bien. S’il est tué par moi, ce sera sa chance.

A ce moment, un homme corpulent d’age moyen parmi les huit a avancé et a lancé un cri de guerre. Ils’est écrié avec colère, en désignant du doigt Clément :

Sale gosse, tu n’es pas digne de prendre ma vie. Je t’éclate la tête !

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